Patrick Schmidt en avait assez du vieil adage « métro, boulot, dodo ». La routine n’était pas faite pour lui. Alors qu’il était au chômage depuis quelque temps, le Californien est tombé sur une petite annonce de vente d’un car scolaire des années 1990. Ni une ni deux, ce passionné épris de liberté a sauté Patrick Schmidt en avait assez du vieil adage « métro, boulot, dodo ». La routine n’était pas faite pour lui. Alors qu’il était au chômage depuis quelque temps, le Californien est tombé sur une petite annonce de vente d’un car scolaire des années 1990. Ni une ni deux, ce passionné épris de liberté a sauté
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